Esik már. Ez csodás! Szeretlek! Maradjunk itthon, ez a jó! legyünk, kik egymással lehetnek, mikor itt van az őszutó.
Esik már. Futkos a taxihad. Rohannak a buszok itt. A Szajnán hajóduda vigad. S nem értjük egymás szavait.
Csodás, ahogy esik, hallgatom az üvegen mint kaparász. És cseppre csepp döng az ablakon, a mosolyod egy villanás.
Szeretlek! Ó, csak az eső rí, mint a búcsúszó, ha rebben. S ha nemsokára el fogsz hagyni, majd esni fog a szemedben.
Il pleut
Il pleut. C'est merveilleux, Je t'aime. Nous resterons à la maison : Rien ne nous plaît plus que nous-mêmes Par ce temps d'arrière-saison.
Il pleut. Les taxis vont et viennent. On voit rouler les autobus Et les remorqueurs sur la Seine Font un bruit... qu'on ne s'entend plus !
C'est merveilleux : il pleut. J'écoute La pluie dont le crépitement Heurte la vitre goutte à goutte... Et tu me souris tendrement.
Je t'aime. Oh ! ce bruit d'eau qui pleure, Qui sanglote comme un adieu. Tu vas me quitter tout à l'heure : On dirait qu'il pleut dans tes yeux.
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